Au cours de cette rencontre, les deux parties ont échangé sur « les travaux du Sommet de Paris pour une nouvelle architecture financière mondiale et sur le rôle attendu des institutions financières multilatérales pour le financement du développement dans son sens le plus large, à la lumière des défis multidimensionnels auxquels sont confrontés notamment, les pays en développement », explique la même source.
L’occasion a été mise à profit pour « discuter de la demande d’adhésion de l’Algérie à la NBD, une adhésion qui a été accueillie favorablement par la Présidente de cette institution et par les membres de son Conseil des Gouverneurs », ajoute le document.
Il était question également « d’échanger sur les modalités pratiques liées au processus d’adhésion », a fait savoir le ministère.
« Il convient de signaler, à cet égard, que notre pays a exprimé récemment formellement son intérêt pour devenir membre de cette institution financière multilatérale », a-t-on souligné.
Le ministère a, par ailleurs, rappelé que la NBD a été créée en 2015 par le Groupe des BRICS, en l’occurrence le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud avec un capital initial de 100 milliards USD.
Basée à Shanghai (Chine), la NBD vise « à contribuer à la croissance et le développement mondial en contribuant, ainsi, à répondre aux besoins et aspirations des pays en développement », explique le communiqué.