Moyen-Orient

Aucune force ne peut se mettre sur le chemin d'une nation qui décide d'un projet clair plébiscité par une société qui arrive à...

Le président du Conseil de la nation, M. Salah Goudjil a salué, samedi depuis Ankara, la qualité des relations privilégiées entre l'Algérie et Türkiye,...

La nouvelle agression sioniste contre la bande de Ghaza où une dizaine de Palestiniens sont tombés en martyrs suite à d'intenses frappes aériennes, a...

Le Caire-SANA/ À l’issue de leur réunion au Caire, les ministres des Affaires étrangères de la Ligue des États arabes ont adopté, la résolution...

“la coopération entre les deux pays comprend les domaines de l’exploration de carburant, du raffinage et de la prospection sismique, de la...

Pendant longtemps, certains chrétiens du Liban (maronites) ont considéré l’alliance avec la France en particulier et l’Occident en général comme une garantie de leur existence et de leur influence. Cependant, une recherche sur l’évolution de la politique française au Liban après l’expansion de l’influence américaine au Moyen-Orient indique que les Français n’ont pas une vision initiale stable de leur politique au Liban, mais plutôt l’intention de servir leurs intérêts politiques, économiques et culturels en soutenant la partie la plus forte dans l’équation politique du moment, (quelle que soit la secte), en tenant compte de la marge concédée par la politique américaine de répartition des rôles. Car l’allié se voit attribuer un rôle que les Américains ne peuvent pas jouer eux-mêmes.  Ainsi, la politique française au Liban peut être divisée en trois phases :

ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a reçu, mardi, un appel téléphonique de son frère, le président de la République de...

"l’Algérie voulait déjà que la République arabe syrienne ne soit qu'au cœur de l'évènement arabe, au cœur de la Ligue des Etats arabes, de la solidarité arabe et de l’action arabe commune en vue d'accomplir des réalisations sur la scène arabe"

Quelques semaines seulement avant la date du sommet arabe de Riyad, dans une nouvelle tentative de réunir les parties arabes après le sommet d'Alger, et dès que des signes de détente sont apparus en Syrie, en Libye et au Yémen, les Soudanais sont pris d'horreur par les combats et le spectre de la division qui menace non seulement le Soudan, mais toute la région, et en plus l’Égypte et la Libye voisines.

Les échos positifs du roi de l’Arabie Saoudite et les efforts déployées par le Président Algérien Abdelmadjid Tebboune pour amener les pays arabes...