Par: Hiba Nawel
La cérémonie d’ouverture du 41ème Festival du film du Caire a débuté mercredi soir en présence d’un grand nombre de stars de l’art du monde arabe et internationales. Trois films européens sur 24 se disputeront le prix du «Arab Critics Awards pour le cinéma européen », dont le lauréat sera annoncé à l’issu du 41e Festival international du cinéma qui se tient au Caire, du 20 au 29 novembre.
Le plus ancien festival de cinéma du Moyen-Orient, donne l’occasion de découvrir d’intéressantes productions du cinéma arabe et étranger. Pas moins de 150 films venant d’une quarantaine de pays sont au rendez-vous avec le public et les spécialistes du cinéma. Fondé en 1976, ce festival s’est fait au fil des ans une place parmi les plus prestigieux rendez-vous du septième art. Outre les figures emblématiques du grand écran égyptien, l’Opéra du Caire a pris pour habitude d’accueillir les plus grands noms des cinémas européen et hollywoodien.
Ces Trois films ont été sélectionnés parmi 24, par Quarante-deux critiques du Centre arabe du cinéma, représentant 13 pays arabes. A travers ces choix les critiques ont misé sur la particularité de ses réalisateurs qui sortent des chemins battus tracés par Le cinéma européen dominé par les productions, britanniques, italiennes et française.
« bunwel in the labyrinth of the turtles »
Un film espagnol de Salvador Simo, produit en 2018, a été projeté dans les salles américaines le 16 août dernier. Il s’agit d’un film d’animation d’un budget de 1 800 000 € d’une Durée environ 80 minutes. Le réalisateur Simo a co-écrit le scénario avec Allegio R. Monteiro.
Le film confond le dessin animé et le cinéma ordinaire, et malgré la préexcellence des personnages de dessins animés, le réalisateur « Simo » a toutefois alimenté son œuvre par les clichés des films du grand espagnol mondialement reconnu.
« Corpus Christi »
D’une durée de 55minute ce filme dont le titre original du film est une production « boze cialo » est fraichement sortie en salle. Il sera projeté aux Etat-Unis, le 22 avril 2020.
Il s’agit d’un drame réalisé par le jeune réalisateur polonais « Jan Kumasa » (28 ans), mais le film a été tourné sur le scénario de « Matwar pasquez ». Le film se caractérise par son sens humain. Avec une singulière délicatesse le personnage entre en conflit avec les idées qu’ils jugent désuètes qui se révèlent incompatible avec le présent.
https://www.youtube.com/watch?v=0dnOJnJVjyk/
« god exist her name is pitrunya »
Pour la réalisatrice macédonienne (ex-Yougoslavie) Tiona Strugar Mitevska (45 ans), elle a terminé ce film cette année. Les rôles principaux ont brillement été joués par Zorica Noshev, (dans le rôle de la belle Petronia), accompagnée par la prometteuse Lapina Mitvska, Steven Vojozic, Suad Begovsky et Simon Vod Damvski.