Il exclut tout rôle dans la transition ou candidature aux élections
L’ex-chef du gouvernement réformateur sous la présidence de Chadli Bendjedi coupe ainsi court aux «déclarations d’acteurs politiques, de sites d’information, de réseaux sociaux et des articles de journaux », qui depuis le début de l’irruption du mouvement populaire en Algérie, citent des noms de personnalités appelées à jouer un rôle de premier ordre à de « probables échéances électorales ou instances transitoires ».
Dans une sortie tonitruante, l’ex-secrétaire général du FLN, Amar Saadani a également cité Hamrouche parmi les personnalités susceptibles de prendre la tête de la période de transition qui s’ouvrirait dans le cas du départ du président Bouteflika comme la rue le réclame.
L’homme des réformes, qui a observé un mutisme totale depuis le début du mouvement de contestation populaire, n’a pas exclu de continuer de s’exprimer sur la situation du pays et à faire entendre son point de vue, chaque fois qu’il estimera que ce dernier « peut éclairer l’opinion ou alerter [les, ndlr] concitoyens », a-t-il souligné.
M.T. At Said