L’oléoduc Eilat-Ashkelon, touché par les missiles de la résistance palestinienne, et le fuit de la signature de l’accord de normalisation entre les Émirats arabes unis et Israël, pour transporter les produits pétroliers du Golfe vers les marchés occidentaux comme alternative au canal de Suez égyptien.
Une vidéo diffusée par Channel 12, qui s’est longuement étalée sur les attaques phénoménales de missiles sur les grandes villes de l’occupation, a montré des flammes s’élevant de ce qui semblait être une grande cuve à combustible près de la ville méditerranéenne israélienne d’Ashkelon, au sud de Tel Aviv.
Ces informations ont été confirmées à Reuters, par un haut gradé du gouvernement israélien et un autre du secteur de l’énergie, affirmant « qu’un pipeline de carburant appartenant à une société gouvernementale israélienne avait été touché lors d’une attaque de missiles depuis Gaza ».
Quatre millions d’israéliens dans les abris souterrains, pour fouir des missiles de la résistance
Netanyahu aurait voulu tourné la page de Bab Al-Amoud avec quelques raids aériens sur la bande de Gaza, essuyer le rituel d’indignation stériles de la communauté internationale et retourner à la vie normale. Mais l’impensable s’est produit grâce à l’élan des habitants de Jérusalem, et la précision des missiles de la resistance qui ont totalement changé les règles de la confrontation. Les deux point phares de ce nouvel épisode dans la résistance obligera manifestement Netanyahu à ne pas tourner cette page sans avaler ses sombres couleurs.
Pas moins de 4 millions d’Israéliens se sont précipités vers les abris, à la suite de la grande attaque de missiles, menée depuis la bande de Gaza. À la suite de l’escalade israélienne dans la bande de Gaza et en ciblant les tours et les installations résidentielles, les Brigades Qassam, la branche armée du Hamas, ont répondu à cette agression par une vaste frappe de missiles visant la région du «Grand Tel Aviv» dans le centre d’Israël, qui a amené des millions de personnes dans abris. Les colonies limitrophe à la bande de Gaza ont été quasiment vidées suite à l’exode massif de ses habitants.
Tous les spécialistes habitués aux plateaux des télés israéliennes, ont eu du mal a caché leur confusion quant au nombre et à la précision de ces missiles dont certains ont été utilisés pour la première fois.
Hier, les Brigades Al-Qassam ont déclaré, dans un communiqué publié sur « Twitter », avoir lancé une vaste frappe de missiles contre la région de Tel Aviv et l’aéroport Ben Gourion avec 110 missiles, en réponse à la reprise de la visée des tours résidentielles à Gaza. Sur leur site Internet les brigade ont affirmé que la deuxième vague de roquettes qu’elles avaient lancé 15 roquettes sur la ville de Dimona, dans le sud d’Israël, où se trouve le principal réacteur nucléaire israélien.
Des accrochages armés dans toutes les villes palestiniennes. Pour la première fois depuis des années, la Cisjordanie renoue avec les combats contre l’armée de l’occupation.
Connue pour être une des zones les plus stables grace à l’accord de la collaboration sécuritaire entre l’Etat sioniste et le Fatah suit aux accord d4o, la Cisjordanie a été témoin d’une escalade armées à l’aube de ce mercredi 12 mai.
A l’instar des combats de rue dans la bande de Gaza et d’autres villes de l’intérieur de la ligne verte, la Cisjordanie, plus précisément la localité de Tobass a enregistré de violents affrontements qui ont éclaté avec les forces armées de la ville, et les soldats de Tsahal, lors de leur prise d’assaut de la ville pour arrêter un jeune. Des tirs nourris des deux côtés ont causé le mort d’un jeune résistant, alors que le Tsahal n’a annoncé aucun mort ou blessé dans ses rangs. Quelques heures plus tôt, des sources médicales ont annoncé que Hussein Atiya Al-Titi (26 ans) était mort des suites des balles des forces d’occupation israéliennes lors d’affrontements dans le camp d’Al-Fawwar, au sud d’Hébron, alors qu’une force de l’armée d’occupation a essuyé des, lors de son assaut sur le camp de Qalandia, au nord de Jérusalem occupée. La ville de Jénine, Bethléem et à la jonction de la ville d’Anata, au nord-est de Jérusalem occupée ont toutes vécu des accrochages aux armes à feu avec le Tsahal.
Ce type d’escalade rappelle aux Palestiniens les scènes d’affrontements armés que vivait la Cisjordanie, lors de la deuxième Intifada qui a éclaté en 2001, et qui étaient absentes de la scène en Occident
Face à cette recrudescence manifestement inattendue, le journal israélien « Maariv » a ouvert son Edition par un grand titre « L’Etat Brûle ». Pour rappel le gouvernement de Netanyahu, a décidé hier de rappeler 8 contingents de l’armée de réserve pour faire face à la situation.